Au risque de paraître étrange, je dirais que ma passion est l'enseignement ! Et oui, je fais partie des personnes qui ont la chance de pouvoir travailler dans un domaine qui les passionne.
Comme je l'ai déjà dit, pour moi l'éducation est quelque chose de très important et je crois sincèrement que l'enseignant a un rôle à jouer dans l'éducation des jeunes et non seulement sur le plan académique. Je crois que par ses gestes et paroles, l'enseignant influence les élèves qui sont devant lui. Lorsqu'il a une bonne relation avec ceux-ci, l'enseignant devient un guide, une référence, un parent, un psychologue, un infirmier bref, les rôles qu'il joue sont multiples et sont tous importants aux yeux de l'élève. Ainsi, un élève peut venir consulter son enseignant pour lui demander conseil ou simplement pour lui raconter ce qu'il a fait durant la fin de semaine. C'est en fait ce qui me passionne dans l'enseignement, le fait de devenir quelqu'un de signifiant et d'important dans la vie des élèves.
Un autre aspect que j'aime est celui de planifier et de préparer des situations d'apprentissage qui intéresseront les élèves. Comment leur faire vivre des expériences agréables qui pourront leur permettre d'apprendre et de vivre des succès ? Voilà la question que je me pose lorsque je prépare mes cours. J'essaie toujours d'être le plus originale possible et de varier mes approches afin de surprendre mes élèves et de les intéresser aux mathématiques.
Voilà donc pourquoi l'enseignement est une de mes passions et pourquoi j'ai tellement hâte de terminer mes études pour commencer à enseigner.
samedi 7 novembre 2009
mercredi 28 octobre 2009
L'éducation
Personnellement, j’ai toujours aimé l’école. Lorsque j’avais 4 ou 5 ans, je jouais déjà au professeure avec ma petite sœur. Je lui préparais des exercices et j’avais même un tableau. Lorsque j’ai commencé l’école primaire j’étais très fière et, comme j’avais de la facilité, j’aimais beaucoup aller à l’école. C’était pour moi un milieu où rencontrer mes amis et où apprendre plusieurs choses. Au secondaire, c’était sensiblement la même chose sauf que j’ai commencé à voir l’école comme un défi. Je voulais obtenir de bons résultats puisque je trouvais qu’il était important de s’impliquer dans ses études. Même si je ne savais pas exactement ce que je voulais faire comme métier à l’époque, je travaillais bien dans tous mes cours. Déjà à cette époque, je m’imaginais assise sur les bancs de l’Université en train de prendre des notes.
Le fait que j’étudie pour devenir enseignante te donne un bon indice sur l’importance que j’accorde à l’éducation. Pour moi, l’éducation est la base et les fondements d’une société. C’est aux enseignants que revient la tâche de former les citoyens de demain. Je pense que les enseignants ont le pouvoir d’influencer les élèves à qui ils enseignent, c’est pourquoi ils doivent toujours faire attention à ce qu’ils leur disent. Certes il faut que l’enseignant enseigne aux élèves les notions scolaires mais il doit également leur apprendre à devenir de bons citoyens, à socialiser et à être qualifiés pour se débrouiller tout au long de leur vie. Je pense également que l’éducation est importante pour obtenir un bon métier et pour être en mesure de comprendre le monde qui nous entoure. C’est peut-être parce que je crois autant en l’éducation que j’ai décidé de travailler dans ce domaine. Une chose est certaine, je compte faire de mon possible pour aider mes futurs élèves à apprendre !
Le fait que j’étudie pour devenir enseignante te donne un bon indice sur l’importance que j’accorde à l’éducation. Pour moi, l’éducation est la base et les fondements d’une société. C’est aux enseignants que revient la tâche de former les citoyens de demain. Je pense que les enseignants ont le pouvoir d’influencer les élèves à qui ils enseignent, c’est pourquoi ils doivent toujours faire attention à ce qu’ils leur disent. Certes il faut que l’enseignant enseigne aux élèves les notions scolaires mais il doit également leur apprendre à devenir de bons citoyens, à socialiser et à être qualifiés pour se débrouiller tout au long de leur vie. Je pense également que l’éducation est importante pour obtenir un bon métier et pour être en mesure de comprendre le monde qui nous entoure. C’est peut-être parce que je crois autant en l’éducation que j’ai décidé de travailler dans ce domaine. Une chose est certaine, je compte faire de mon possible pour aider mes futurs élèves à apprendre !
samedi 17 octobre 2009
Il était une fois...
Cette semaine, je dois parler de ma vie il y a de cela quelques années. On pourrait reculer d’une dizaine d’années, alors que j’étais assise à la place de mes élèves. Comme je l’ai déjà dit, j’ai fait mes études secondaires dans un programme particulier en musique. Ainsi, lorsque j’étais à l’école j’avais des cours de musique pratiquement à tous les jours. Nous pratiquions des pièces en ensemble appelé harmonie et en petits groupes. J’avais également un professeur privé qui m’aidait à m’améliorer. Lorsque j’ai commencé mon secondaire, j’étais une jeune fille plutôt gênée et, comme j’étais très bonne à l’école, je me suis vite fait catégorisée de ‘’bollée’’.
Cependant, plus les années ont avancées, plus je me suis impliquée dans mon école. J’ai d’abord commencé à participer à l’atelier théâtre, puis au gala de fin d’année et aux autres spectacles présentés à l’école par les élèves. Je participais également à la création des décors pour ces différents spectacles et parfois même à la technique de scène. Au niveau de l’école, je faisais partie de plusieurs comités comme le conseil étudiant, le comité de vie étudiante et, en 5e secondaire, de tous les comités des finissants. J’aimais vraiment mon école secondaire (c’est d’ailleurs à cette école que je retourne en stage au mois de janvier) et je crois que j’ai pu y ajouter ma petite touche lors de mon séjour là-bas.
En plus de mes activités scolaires, j’occupais également un emploi à temps partiel dans une épicerie. Je travaillais en fait au département de la poissonnerie ! Et oui, j’ai vendu du poisson et des fruits de mer pendant plus de 4 années !
Je dirais qu’avec les années, j’ai pris de l’assurance et je ne suis plus la jeune fille timide que j’étais il y a 10 ans !
Cependant, plus les années ont avancées, plus je me suis impliquée dans mon école. J’ai d’abord commencé à participer à l’atelier théâtre, puis au gala de fin d’année et aux autres spectacles présentés à l’école par les élèves. Je participais également à la création des décors pour ces différents spectacles et parfois même à la technique de scène. Au niveau de l’école, je faisais partie de plusieurs comités comme le conseil étudiant, le comité de vie étudiante et, en 5e secondaire, de tous les comités des finissants. J’aimais vraiment mon école secondaire (c’est d’ailleurs à cette école que je retourne en stage au mois de janvier) et je crois que j’ai pu y ajouter ma petite touche lors de mon séjour là-bas.
En plus de mes activités scolaires, j’occupais également un emploi à temps partiel dans une épicerie. Je travaillais en fait au département de la poissonnerie ! Et oui, j’ai vendu du poisson et des fruits de mer pendant plus de 4 années !
Je dirais qu’avec les années, j’ai pris de l’assurance et je ne suis plus la jeune fille timide que j’étais il y a 10 ans !
La société québécoise
Il est difficile pour moi de décrire la société québécoise puisque j’en fais partie depuis toujours, je n’ai donc pas de point de vue extérieur. De mon point de vue, je trouve que c’est une société tout de même ouverte puisque nous accueillons beaucoup d’immigrants et que notre système de droits et libertés ne fait pas de discrimination. Évidemment, on ne peut pas dire que tous les québécois sont très ouverts. Comme dans tout, il existe des exceptions et des nuances mais, de manière générale, je pense que l’on accueille bien la diversité.
Là où les Québécois sont peut-être plus fermés est la question de la langue. Suite à notre histoire, où nous avons été souvent persécutés pour apprendre l’anglais et délaisser le français. Les Québécois ont développé une crainte de perdre leur identité québécoise qui fait leur fierté. Voilà peut-être pourquoi les Québécois sont moins ouverts envers les gens qui ne veulent pas apprendre le français, puisqu’il serait somme toute assez facile de perdre cette langue.
Je dirais également que la société québécoise croit beaucoup en l’éducation. Ainsi, le gouvernement investit beaucoup d’argent pour que tous les jeunes aient accès à l’école et à des ressources appropriées. De plus, il a mis sur pied un système de prêts et bourses qui aide les étudiants sur le plan financier. Bien que l’éducation soit très valorisée, il existe tout de même un assez haut taux de décrochage scolaire chez les adolescents. En tant que future enseignante, ce sera à moi d’apporter des solutions nouvelles pour accrocher les élèves !
Là où les Québécois sont peut-être plus fermés est la question de la langue. Suite à notre histoire, où nous avons été souvent persécutés pour apprendre l’anglais et délaisser le français. Les Québécois ont développé une crainte de perdre leur identité québécoise qui fait leur fierté. Voilà peut-être pourquoi les Québécois sont moins ouverts envers les gens qui ne veulent pas apprendre le français, puisqu’il serait somme toute assez facile de perdre cette langue.
Je dirais également que la société québécoise croit beaucoup en l’éducation. Ainsi, le gouvernement investit beaucoup d’argent pour que tous les jeunes aient accès à l’école et à des ressources appropriées. De plus, il a mis sur pied un système de prêts et bourses qui aide les étudiants sur le plan financier. Bien que l’éducation soit très valorisée, il existe tout de même un assez haut taux de décrochage scolaire chez les adolescents. En tant que future enseignante, ce sera à moi d’apporter des solutions nouvelles pour accrocher les élèves !
mardi 6 octobre 2009
La langue de chez nous
Évidemment, comme la plupart des gens au Québec, ma langue maternelle est le français. Selon mes parents, j’ai appris assez rapidement à parler et je suis même devenue très volubile (je parlais beaucoup et tout le temps pour dire tout ce qui me passait par la tête !) J’ai toujours eu beaucoup de facilité avec le français écrit ou parlé. Pour moi, l’écriture d’un texte est très naturelle et mes amis à l’Université disent souvent que je fais mes travaux en un temps record, puisque j’ai de la facilité à composer. Le français que je parle est le français des Québécois, il est donc teinté d’un accent particulier et de mots spécifiques à ma province qui viennent colorer notre langage.
Comme la plupart des Québécois, je parle également en anglais. Je ne suis pas parfaitement bilingue mais je sais me débrouiller, notre situation géographique l’impose ! Tout comme pour le français, mon apprentissage de l’anglais s’est bien déroulé tout au long de ma scolarité. J’ai commencé à avoir des cours d’anglais en 4e année du primaire (10 ans). Malheureusement, je ne parle que ces deux langues, cependant, j’aime bien écouter les gens parler d’autres langues et tenter de deviner ce qu’ils peuvent bien se dire !
Comme la plupart des Québécois, je parle également en anglais. Je ne suis pas parfaitement bilingue mais je sais me débrouiller, notre situation géographique l’impose ! Tout comme pour le français, mon apprentissage de l’anglais s’est bien déroulé tout au long de ma scolarité. J’ai commencé à avoir des cours d’anglais en 4e année du primaire (10 ans). Malheureusement, je ne parle que ces deux langues, cependant, j’aime bien écouter les gens parler d’autres langues et tenter de deviner ce qu’ils peuvent bien se dire !
lundi 28 septembre 2009
Ah, Sherbrooke !
Bonjour !
Après m'être présentée et avoir présenté mon pays, il est peut-être temps de parler un peu de la ville de Sherbrooke. En fait, comme je l’ai déjà mentionné, je ne suis pas originaire de Sherbrooke mais plutôt de Drummondville. J’habite à Sherbrooke depuis un peu plus de trois ans pour mes études. Je ne connais donc pas tout de cette ville et il m’arrive encore d’en découvrir de nouveaux aspects. J’ai choisi Sherbrooke pour mes études d’abord pour la bonne réputation qu’avait l’Université de Sherbrooke pour la formation des enseignants et ensuite pour sa situation géographique par rapport à Drummondville. Comme je retourne souvent visiter mes parents, il était important pour moi d’étudier dans une ville proche de ma ville d’origine.
Lorsque je suis arrivée ici il y a trois ans, j’ai eu un coup de cœur pour cette ville et son côté vert et environnemental. Partout dans la ville, on retrouve des arbres et de la nature. Il y a également plusieurs parcs publics où l’on peut profiter de cette belle nature. De plus, la ville est très axée sur les problèmes de l’environnement. Elle offre un excellent service de transport en commun, ce qui permet aux citoyens de moins utiliser leur voiture. De plus, elle offre un programme de compostage, ce qui est assez nouveau et unique au Québec.
Ensuite, je trouve que c’est une ville sécuritaire et tranquille et où il y a plusieurs activités à faire. Le centre-ville est très animé et on retrouve plusieurs centres d’activités comme la Promenade du lac de Nations, le mont Bellevue, le musée des sciences ou le centre culturel. Personnellement, je recommanderais la Promenade du Lac des Nations. À chaque fois que j’y vais, j’en reviens reposée et de meilleure humeur.
Voilà ce que je connais de la ville de Sherbrooke. Je dois dire que, comme je ne la connais pas énormément, je ne lui ai pas encore trouvé d’inconvénients majeurs et je m’y plait toujours beaucoup !
Après m'être présentée et avoir présenté mon pays, il est peut-être temps de parler un peu de la ville de Sherbrooke. En fait, comme je l’ai déjà mentionné, je ne suis pas originaire de Sherbrooke mais plutôt de Drummondville. J’habite à Sherbrooke depuis un peu plus de trois ans pour mes études. Je ne connais donc pas tout de cette ville et il m’arrive encore d’en découvrir de nouveaux aspects. J’ai choisi Sherbrooke pour mes études d’abord pour la bonne réputation qu’avait l’Université de Sherbrooke pour la formation des enseignants et ensuite pour sa situation géographique par rapport à Drummondville. Comme je retourne souvent visiter mes parents, il était important pour moi d’étudier dans une ville proche de ma ville d’origine.
Lorsque je suis arrivée ici il y a trois ans, j’ai eu un coup de cœur pour cette ville et son côté vert et environnemental. Partout dans la ville, on retrouve des arbres et de la nature. Il y a également plusieurs parcs publics où l’on peut profiter de cette belle nature. De plus, la ville est très axée sur les problèmes de l’environnement. Elle offre un excellent service de transport en commun, ce qui permet aux citoyens de moins utiliser leur voiture. De plus, elle offre un programme de compostage, ce qui est assez nouveau et unique au Québec.
Ensuite, je trouve que c’est une ville sécuritaire et tranquille et où il y a plusieurs activités à faire. Le centre-ville est très animé et on retrouve plusieurs centres d’activités comme la Promenade du lac de Nations, le mont Bellevue, le musée des sciences ou le centre culturel. Personnellement, je recommanderais la Promenade du Lac des Nations. À chaque fois que j’y vais, j’en reviens reposée et de meilleure humeur.
Voilà ce que je connais de la ville de Sherbrooke. Je dois dire que, comme je ne la connais pas énormément, je ne lui ai pas encore trouvé d’inconvénients majeurs et je m’y plait toujours beaucoup !
lundi 21 septembre 2009
D'où je viens
Bonjour,
Dans ce message, je souhaiterais vous présenter mon pays d’origine, le Canada. Honnêtement, je dois avouer que je ne connais pas beaucoup mon pays, mais je vais tenter de vous en dresser un bon portrait, du moins tel que je le perçois. Si je devais choisir deux mots pour décrire le Canada, je crois que je choisirais les mots vaste et varié.
D’abord, j’ai choisi le terme vaste puisqu’avec près de dix millions de kilomètres carrés de superficie s’étendant de l’océan Pacifique à l’océan Atlantique, la Canada fait parti du top 10 des pays les plus vastes dans le monde. Le Canada compte une moyenne de 3,33 habitants par kilomètres carrés, ce qui est très peu en comparaison avec d’autres pays comme la France ou la Chine. Il comporte de nombreux espaces verts, des forêts à perte de vue, d’imposantes chaînes de montagnes et de grandes prairies.
Ensuite, je trouve que le terme varié décrit bien le Canada dans sa diversité culturelle et naturelle. Comme ce pays s’étend d’un océan à l’autre, on y retrouve différents climats et paysages très variés. D’abord, l’Ouest du Canada est réputé pour l’incroyable beauté de sa nature avec ses forêts d’arbres géants et les Rocheuses. C’est l’endroit idéal pour faire du ski. Ensuite, on retrouve les prairies qui sont de vastes étendues plates où l’agriculture prédomine. Plus à l’est, on retrouve le Québec, qui est ma province d’origine. Le Québec a plusieurs aspects particuliers qui le démarquent du reste du Canada. Entre autre, la langue officielle y est le français, contrairement à toutes les autres provinces où l’anglais domine. De plus, les Québécois ont leur culture bien particulière. Finalement, complètement à l’est du Canada, on retrouve les provinces maritimes où l’on retrouve de très belles plages sablonneuses.
Outre ces caractéristiques culturelles et naturelles, le Canada est un pays prospère sur le plan économique. Voisin des États-Unis, il entretient plusieurs relations commerciales avec ces derniers. De plus, le Canada est un pays de paix que plusieurs immigrants choisissent pour élire domicile. En fait, le Canada encourage beaucoup l’immigration.
Personnellement, je me suis toujours comptée très chanceuse d’être née au Canada, dans un pays où règne la paix et la démocratie. J’ai la particularité d’être née au Québec qui, comme je l’ai mentionné, est une province à part des autres. Cela peut parfois créer quelques confrontations puisque les Québécois ont souvent l’impression de ne pas être à leur place dans le Canada et ont même tenté par deux fois de se séparer de ce pays pour devenir indépendants. Cependant, à ce jour, le Québec fait toujours parti du Canada et doit vivre sous ses règles.
Dans ce message, je souhaiterais vous présenter mon pays d’origine, le Canada. Honnêtement, je dois avouer que je ne connais pas beaucoup mon pays, mais je vais tenter de vous en dresser un bon portrait, du moins tel que je le perçois. Si je devais choisir deux mots pour décrire le Canada, je crois que je choisirais les mots vaste et varié.
D’abord, j’ai choisi le terme vaste puisqu’avec près de dix millions de kilomètres carrés de superficie s’étendant de l’océan Pacifique à l’océan Atlantique, la Canada fait parti du top 10 des pays les plus vastes dans le monde. Le Canada compte une moyenne de 3,33 habitants par kilomètres carrés, ce qui est très peu en comparaison avec d’autres pays comme la France ou la Chine. Il comporte de nombreux espaces verts, des forêts à perte de vue, d’imposantes chaînes de montagnes et de grandes prairies.
Ensuite, je trouve que le terme varié décrit bien le Canada dans sa diversité culturelle et naturelle. Comme ce pays s’étend d’un océan à l’autre, on y retrouve différents climats et paysages très variés. D’abord, l’Ouest du Canada est réputé pour l’incroyable beauté de sa nature avec ses forêts d’arbres géants et les Rocheuses. C’est l’endroit idéal pour faire du ski. Ensuite, on retrouve les prairies qui sont de vastes étendues plates où l’agriculture prédomine. Plus à l’est, on retrouve le Québec, qui est ma province d’origine. Le Québec a plusieurs aspects particuliers qui le démarquent du reste du Canada. Entre autre, la langue officielle y est le français, contrairement à toutes les autres provinces où l’anglais domine. De plus, les Québécois ont leur culture bien particulière. Finalement, complètement à l’est du Canada, on retrouve les provinces maritimes où l’on retrouve de très belles plages sablonneuses.
Outre ces caractéristiques culturelles et naturelles, le Canada est un pays prospère sur le plan économique. Voisin des États-Unis, il entretient plusieurs relations commerciales avec ces derniers. De plus, le Canada est un pays de paix que plusieurs immigrants choisissent pour élire domicile. En fait, le Canada encourage beaucoup l’immigration.
Personnellement, je me suis toujours comptée très chanceuse d’être née au Canada, dans un pays où règne la paix et la démocratie. J’ai la particularité d’être née au Québec qui, comme je l’ai mentionné, est une province à part des autres. Cela peut parfois créer quelques confrontations puisque les Québécois ont souvent l’impression de ne pas être à leur place dans le Canada et ont même tenté par deux fois de se séparer de ce pays pour devenir indépendants. Cependant, à ce jour, le Québec fait toujours parti du Canada et doit vivre sous ses règles.
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