lundi 28 septembre 2009

Ah, Sherbrooke !

Bonjour !
Après m'être présentée et avoir présenté mon pays, il est peut-être temps de parler un peu de la ville de Sherbrooke. En fait, comme je l’ai déjà mentionné, je ne suis pas originaire de Sherbrooke mais plutôt de Drummondville. J’habite à Sherbrooke depuis un peu plus de trois ans pour mes études. Je ne connais donc pas tout de cette ville et il m’arrive encore d’en découvrir de nouveaux aspects. J’ai choisi Sherbrooke pour mes études d’abord pour la bonne réputation qu’avait l’Université de Sherbrooke pour la formation des enseignants et ensuite pour sa situation géographique par rapport à Drummondville. Comme je retourne souvent visiter mes parents, il était important pour moi d’étudier dans une ville proche de ma ville d’origine.

Lorsque je suis arrivée ici il y a trois ans, j’ai eu un coup de cœur pour cette ville et son côté vert et environnemental. Partout dans la ville, on retrouve des arbres et de la nature. Il y a également plusieurs parcs publics où l’on peut profiter de cette belle nature. De plus, la ville est très axée sur les problèmes de l’environnement. Elle offre un excellent service de transport en commun, ce qui permet aux citoyens de moins utiliser leur voiture. De plus, elle offre un programme de compostage, ce qui est assez nouveau et unique au Québec.

Ensuite, je trouve que c’est une ville sécuritaire et tranquille et où il y a plusieurs activités à faire. Le centre-ville est très animé et on retrouve plusieurs centres d’activités comme la Promenade du lac de Nations, le mont Bellevue, le musée des sciences ou le centre culturel. Personnellement, je recommanderais la Promenade du Lac des Nations. À chaque fois que j’y vais, j’en reviens reposée et de meilleure humeur.

Voilà ce que je connais de la ville de Sherbrooke. Je dois dire que, comme je ne la connais pas énormément, je ne lui ai pas encore trouvé d’inconvénients majeurs et je m’y plait toujours beaucoup !

lundi 21 septembre 2009

D'où je viens

Bonjour,
Dans ce message, je souhaiterais vous présenter mon pays d’origine, le Canada. Honnêtement, je dois avouer que je ne connais pas beaucoup mon pays, mais je vais tenter de vous en dresser un bon portrait, du moins tel que je le perçois. Si je devais choisir deux mots pour décrire le Canada, je crois que je choisirais les mots vaste et varié.

D’abord, j’ai choisi le terme vaste puisqu’avec près de dix millions de kilomètres carrés de superficie s’étendant de l’océan Pacifique à l’océan Atlantique, la Canada fait parti du top 10 des pays les plus vastes dans le monde. Le Canada compte une moyenne de 3,33 habitants par kilomètres carrés, ce qui est très peu en comparaison avec d’autres pays comme la France ou la Chine. Il comporte de nombreux espaces verts, des forêts à perte de vue, d’imposantes chaînes de montagnes et de grandes prairies.

Ensuite, je trouve que le terme varié décrit bien le Canada dans sa diversité culturelle et naturelle. Comme ce pays s’étend d’un océan à l’autre, on y retrouve différents climats et paysages très variés. D’abord, l’Ouest du Canada est réputé pour l’incroyable beauté de sa nature avec ses forêts d’arbres géants et les Rocheuses. C’est l’endroit idéal pour faire du ski. Ensuite, on retrouve les prairies qui sont de vastes étendues plates où l’agriculture prédomine. Plus à l’est, on retrouve le Québec, qui est ma province d’origine. Le Québec a plusieurs aspects particuliers qui le démarquent du reste du Canada. Entre autre, la langue officielle y est le français, contrairement à toutes les autres provinces où l’anglais domine. De plus, les Québécois ont leur culture bien particulière. Finalement, complètement à l’est du Canada, on retrouve les provinces maritimes où l’on retrouve de très belles plages sablonneuses.

Outre ces caractéristiques culturelles et naturelles, le Canada est un pays prospère sur le plan économique. Voisin des États-Unis, il entretient plusieurs relations commerciales avec ces derniers. De plus, le Canada est un pays de paix que plusieurs immigrants choisissent pour élire domicile. En fait, le Canada encourage beaucoup l’immigration.

Personnellement, je me suis toujours comptée très chanceuse d’être née au Canada, dans un pays où règne la paix et la démocratie. J’ai la particularité d’être née au Québec qui, comme je l’ai mentionné, est une province à part des autres. Cela peut parfois créer quelques confrontations puisque les Québécois ont souvent l’impression de ne pas être à leur place dans le Canada et ont même tenté par deux fois de se séparer de ce pays pour devenir indépendants. Cependant, à ce jour, le Québec fait toujours parti du Canada et doit vivre sous ses règles.

Qui suis-je ??

Bonjour,
Je me présente : Claudie Lefebvre-Leblanc, nouvellement arrivée dans l’aire des blogs ! Je crois que pour un premier message, des présentations s’imposent… Par où commencer ? D’abord, j’ai 22 ans et je suis originaire de Drummondville, une ville un peu plus petite que Sherbrooke située entre Montréal et Québec. J’ai une sœur cadette qui a maintenant 17 ans et une gentille petite chienne prénommée Croquette.

Je pourrais peut-être vous parler de mes études… J’ai fait mes études secondaires dans un programme particulier en musique. J’y ai appris à jouer du basson (un instrument plutôt rare) et du violoncelle. Lorsque j’étais au secondaire, j’aimais m’impliquer dans tous les projets de l’école : théâtre, vie étudiante, création de décor, technique de scène, conseil étudiant, etc. C’est d’ailleurs à cette époque que je me suis découvert une passion pour le théâtre. J’ai donc décidé de poursuivre mes études collégiales en théâtre, au Cégep de St-Hyacinthe. Pendant ces deux années d’étude, je demeurais à Drummondville chez mes parents et je voyageais à tous les jours jusqu’à St-Hyacinthe (environ 45 minutes) pour aller suivre mes cours… j’étais donc très motivée ! Lorsque j’ai débuté mes études collégiales, j’avais en tête de devenir enseignante au primaire. Cependant, je me suis étrangement mise à m’ennuyer des cours de mathématiques puisque je n’en avais pas dans mon programme et j’ai rapidement réalisé que les adolescents m’intéressaient davantage que les enfants. J’ai donc choisi de m’orienter vers l’enseignement des mathématiques au secondaire. Voilà pourquoi j’ai dû faire ajouter à mon horaire trois cours de mathématiques, qui étaient des pré-requis à ma formation universitaire.

C’est ainsi qu’il y a maintenant de cela trois ans, j’ai débuté ma formation à l’Université de Sherbrooke pour devenir enseignante de mathématique au secondaire. Je dois dire que mon arrivée à l’Université s’est faite de manière plutôt brutale. Alors que mes amis qui étudiaient dans d’autres programmes avaient des sessions de 15 heures de cours, j’en avais 23 à l’horaire, sans compter mon premier stage et les heures consacrées aux devoirs hebdomadaires pour chaque cours. De plus, les cours de mathématique que j’ai à suivre sont les mêmes que ceux suivis par les personnes voulant être des mathématiciens. Ils sont donc d’un niveau très élevé et demandent beaucoup de travail. Je dois vous avouer que je me suis souvent demandé pourquoi je devais apprendre toutes ces notions alors qu’elles ne sont même pas enseignées au Cégep et que moi, je vais enseigner au secondaire ! Heureusement, je ne suis pas seule dans mon programme. Nous sommes en fait 12 étudiants en enseignement des mathématiques (nous étions plus de 25 au départ) et nous nous entraidons beaucoup. Comme nous sommes très peu nombreux, la chimie s’est rapidement installée, ce qui rend plus agréables nos innombrables heures d’étude et de devoirs.

Nous voilà donc rendu à aujourd’hui. En ce moment, je viens tout juste d’entamer ma quatrième et dernière année de formation. Je suis présentement en session de cours et je serai en stage pour toute la session d’hiver. Il s’agit du stage le plus important puisque je prendrai 75% de la tâche d’une enseignante (c’est-à-dire trois groupes). C’est donc dire que dans quelques mois, j’aurai en main mon baccalauréat et je commencerai ‘’ma vraie vie d’adulte’’. J’ai hâte de pouvoir avoir enfin ma classe avec mes élèves. J’adore le contact humain et la relation que je développe avec les élèves. J’aime expliquer les mathématiques d’une manière nouvelle et concrète. J’aime le fameux : « Ah ! là, je comprend! » que poussent les élèves à la suite d’une explication. Humblement, je crois vraiment que je suis à ma place en enseignement et qu’il s’agit d’une passion pour moi.

Finalement, mis à part mes études… J’aime bien voyager. Je suis allée en France et à Londres. J’ai également visité quelques endroits aux États-Unis et au Québec et je compte bien profiter des semaines de vacances que j’aurai l’été pour voyager. J’aime également la musique. Bien que je ne joue plus souvent de basson ou de violoncelle, la musique demeure importante dans ma vie. J’aime également lire autre chose que des textes de pédagogie ! Il m’arrive également de jouer à l’artiste en faisant du scrapbooking, de la peinture ou encore des montages photo ou vidéo. Voilà, je crois donc vous avoir donné un bon aperçu de qui est Claudie !